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Mon histoire, imaginaire , dont le roman, que j 'ai créé moi-même, , va vous emporter, dans un monde , imaginaire, peuplé, de personnages réels et ireels qui peuvent s'unirent, contre des ennemis, parfois, dangereux, et mystérieux. Tous ces personnages évolueront, ensemble, au côté d'un des héros de mon histoire, qui lui, apprendra à connaître leurs défauts, leurs limites, leurs peurs, et entrera dans la légende. 

Adrien à Clochard :

Je n’est jamais vu la mer, enfermé dans une tour, je n ’est pas  eu le privilège de la contemple de plus prêt  hélas !

Clochard : 

Et moi, qui vit pas loin des villes, je trouve que ce merveilleux panorama est un paradis terrestre. Si tu veut ont pourrais descendre en bas tous les trois, pour pêcher, comme ça, tu pourras à loisir, la contemplé de plus prêt.

Lui répondit Clochard

Gandalf :

Mais avant d’aller pêcher, mes deux agneaux , il faut avant tout,  Clochard, que je guérisse ton ami de ses blessures. 

Sur ses mot Gandalf, prit sa baguette magique, la pointant vers Adrien, lança un sort vers lui. La lumière émit par Gandalf,  transperça le corps d’Adrien.  L’ instant d après,  Adrien vit ses blessures disparaître comme par magie. En admiration, Adrien voulu connaître le secret du sort qu avait prononcer Gandalf. Mais comme tout les magicien , Gandalf , refusa de lui dire et lui répondit:

Un magicien ne doit jamais révéler a qui qu’on que ses secret,  encore une réglé d’or de notre apprentissage que nous avons nous  les magiciens.

Maintenant Adrien, que tu est guéri,  de tes blessures, partont tous les trois pêcher .

Dit Clochard, a son nouvel ami.

Partez devant tout les deux, je vais me transformer en cerf volant,et sa risque d’être assez long, je vous rejoindrais, d’accord.

Dit Gandalf,  à nos deux ami

Clochard :

OK, vient , ont va descendre pas loin de la cascade, il y a un escalier, par la .

Adrien :

 D’Accord , je te suis 

Nos deux ami descendirent, des pentes parsemer de bout de bois,  de ronce, et de pierre. Tout au long de leur chemin, de magnifiques papillons, de toute les couleurs de l’arc-en-ciel, majestueux   et immense , voler dans les arbres,et les feuillages. De temps en temps, nos deux ami firent de bon gigantesque, pour éviter de tomber dans les trou, laisser par les poing et les mains.  Arriver enfin devant la cascade, ils cherchèrent tout deux, ou se trouver l’ escalier qui mener tout en bas de la cascade, et remarquèrent un pont suspendu tout en bois et de lianes vertes, pas loin ou ils se trouvaient. Clochard passa le premier sur le pont suspendu qui sembler craquer sous ses pas. Arriver au bout du pont suspendu, Clochard  dit a Adrien

Tu peut venir me rejoindre, j ai fini de traversais le pont.

 Adrien :

D’accord j’ arrive.

Adrien traversa le pont suspendu, mais arriver presque a la fin, un crac se fit entendre et le pont se brisas, voyant son ami en danger, se précipita pour  attrapai sa main. Adrien agrippa la main de Clochard, Voyant que son ami , le tirais de toute ses fort, mais que cela les mettais encore plus en danger, Adrien lui dit :

C’ est inutile, je vais t’entraîner  dans ma chute si sa continu, est les corde des lianes sont glissantes !  

Adrien :

 Adieu Clochard.

Est sur c’est mot, lâcha prise, sous les yeux horrifier de son ami.  Au moment où tout semble perdu, un magnifique phénix, jaune, tout en cerf volant, fit son apparition. Celui ci , piqua a toute vitesse dans une pluie d’étoile est de lumière  dans le ravin, pour sauver Adrien.

Un jour où il flânait dans un bois voisin, il aperçut un étrange magicien assit sur un tronc d’arbre à quelque mètre de l’endroit où il se trouver, et décida d’aller lui parler.

Clochard :

- Bonjour monsieur, vous attendez quelqu’un ?

Demanda Clochard au magicien. Le magicien qui semblé être dans ses pensées, surprit celui-ci, en entendent la voix de Clochard, lui répondis.

Gandalf :

Tu ma fais une de ses peurs mon garçon, je ne t’ai pas entendu venir ! Comme tu peut le voir, j’attends un ami, qui doit me rejoindre, ici, par les voix des airs, car il aime bien courir, voler, tout cela en même temps, se qui est bien pratique pour échapper aux ennemis de la forêt noire, qui se trouve là-bas, dit Gandalf en montrant du doigt à Clochard.

 

Clochard :

Vous ne savait pas vous défendre, vous les magicien, contre ses ennemis ?

Demanda Clochard à Gandalf

Gandalf :

Selon une vieille légende, nous somme capable de jeter des sorts pour anéantir nos ennemi, sa c ’est vrai, mais pas vraiment a les tuées complètements, c’est la notre faiblesse, nos limite…, Aussi ils  sont une arme , plus dangereuse que la notre. Avec cette arme, ils peuvent anéantir tout les humains , sur la terre, et conquérir le monde, ont les surnommes les chevaliers des ombres  de la forêt noire.   

Clochard :

Penser vous que les humains comme moi, arriverais a vaincre ses ennemis de la forêt noir ?

Gandalf :

oui, mais il te faudrait , des mois, des année, d’entrainements afin de pouvoirs les affronter ses ennemis de la forêt noir, mon cher enfant.

Clochard :

j ’aimerais  bien apprendre a me défendre contre ses ennemis, car je suis timide est très réservé….  Apprenez moi !

 

Gandalf :

D’accord , puis que  tu insiste, tant, je vais dont t’apprendre a te défendre, si il y a quelque que chose qui te parait difficile pour toi, tu me le dit , d’accord.

dit Gandalf à Clochard

Clochard :

Je suis d’accord

 

Gandalf :

D’abord, pour que le duel commence, généralement, les deux combattants, doivent être à dix pas l’un de l’autre.

Dit Gandalf à Clochard.

Clochard :

Oui , et après ?

Gandalf :

Quand c’est fait , prend ta fleur , bras tendu, est tourne au tourne autour de moi, du sens inverse de l’aiguille d’une montre, et moi avec ma baguette magique , en face de toi, je ferait pareil, mais l’autre sens.

Dit Gandalf à Clochard.

 

Dit Gandalf à Clochard.

Clochard, fit se que Gandalf, lui disait de faire.

Gandalf :

Maintenant je vais t’envoyer, un sort, renvoi  le moi.

D’accord dit Clochard à Gandalf.

Gandalf, envoya, un sort avec sa baguette magique, vers Clochard, qui lui , le repoussa, timidement , mais brillamment se qui lui vaut , les applaudissement de son maître magicien.

Gandalf :

Je te lance un sort plus dangereux, tu doit résister, et me renvoyer mon sort, et ainsi ,me désarmer par la même occasion.

Gandalf :

Prêt ?

Clochard :

Oui

Gandalf :

C’est Parti !

Gandalf, envoya donc un sort plus dangereux, vers Clochard qui lui reprit  sa fleur et tendis bien le bras droit en direction du sort de son  adversaire. le sort jeter par Gandalf, ricocha sur la fleur, qui protéger Clochard , et, se retourna contre Gandalf, et par la même occasion ,le désarma. 

 

Gandalf :

Bravo , jeune apprenti, tu te débrouille bien pour un humain, mais n’oublie jamais une des règle d’or qu’on nous apprend nous les magicien, ne sous estime, jamais la force de ton adversaire, qui est en face de toi, il  aura toujours ses défauts, ses  limites, ses faiblesses, et un  grand sentiment de culpabilité, au font de lui même.

Dit Gandalf ravi et content de son élève.

Clochard :

Oh regarder, j’aperçois des silhouettes qui arrive a l’endroit ou nous nous trouvons.

Gandalf :

Vite cachons nous dans ses buissons , les chevaliers des ombres, sont des êtres mystérieux et de dangereux prédateurs, coriace et sans pitié !

Nos deux amis, se cachère, derrière des bruissons . Ils virent que les chevaliers des ombres avait réussi a attraper un jeune garçon qui  enchaîner, blesser de par en par, se débâter violemment.

Adrien :

AU SECOUR !……..  AIDEZ MOI !  ……  A l’AIDE ! …..PITIÉ  !

  

Vampire Humain :

Laissons le ici, ,les bêtes sauvages viendront le dévorer, il aura  eu se qu’il mériter

Chien Humain  Vampire :

En parlent de bêtes j aperçois des horde de loup noir qui ont flairer son odeur et qui arrive droit sur nous, tirons nous sir, avant que la nuit tombe.

Merlin Humain Vampire :

Je suis d’accord avec vous ,mes frère de sang, laisser se jeune garçon se faire dévorer par ces loup est partons d’ ’ ici !

Merlin Humain Vampire :

Je suis d’accord avec vous ,mes frère de sang, laisser se jeune garçon se faire dévorer par ces loup est partons d ’ içi !

Peut après leur départ, une horde de loup affamé  surgit et se jette sur le pauvre garçon, en chaîné . Nos deux ami cacher derrière les arbres décidèrent de lui venir en aide en faisant une diversion. Clochard délivra le jeune garçon, est fit reculer les loup vers le ravin au contre bas, tandis que Gandalf lancer des sort a qui mieux mieux pour aider Clochard et le jeune garçon a se mètre a labrit du danger et a le rejoindre  par la même occasion, qui lui se trouver pas loin d’eux.

Quand nos deux ami revinrent vers Gandalf, celui ci c’était transformer en un grands cheval ailé blanc avec a son front une belle corne d’or est parla a nos deux ami. 

Gandalf:

 Monter sur mon dos tout les deux , nous allons chez moi , comme ça Adrien , je pourrais te guérir  de tes blessure.

 

C’est ainsi, que Gandalf, s’envola , portant nos deux ami, à travers les nuages, est, longea  le grand canyon qui séparent la forêt noire de la grande rivière ,et puis sur un immense plateau qui surplombé , toute la vallée , ils  aperçurent une maisonnette en forme de chapeau pointu, c’est la que vivait notre magicien, Gandalf .Ses amis des environs le surnommé le magicien, des air et du vent. Gandalf, se posa pas loin de sa maisonnette, tandis que Clochard aida son nouvelle ami, a descendre de son dos, et tout deux purent contemplais le merveilleux panorama qui s’offrais a eux. Tout la vallée, rayonner de lumière  et de chant d’ oiseaux . En contre bas ont apercevais une grande cascade d’eau qui prenais sa source, entourer de palmier, et de sable fin . 

Il était une fois un petit garçon nommé Clochard. Ce petit garçon aimer une belle fleure au pétale verte, dont la tête avait des petites clochettes de couleur blanche. Tous les jours, l’enfant arroser sa plante.  Cette plante était sa seule amie avec qu’il partager ses joies et ses peines. Le petit garçon avait construit une petite cabane, pour lui, et pour sa plante, afin de la rendre heureuse et en bonne santé. Quand venez le soir, le petit garçon la prenez dans sa main, est elle s’illuminer comme par magie, sur son passage quand il courait  aussi vite que la lumière dans les grands champs  de blé voisin. Les enfants du village des environs se moquer de lui, l’insulter, quand ils passaient sur son chemin. Blesser par ses insultes, l’enfant se sentait rejeter, exclut par le groupe de ces enfants, car il ne savait pas se défendre. Mais le temps viendra un jour, ou il saura de l’autre côté du miroir, capable de leur renvoyer la balle, car il aura changé, grandi et mûri.

Mon histoire, imaginaire , dont le roman, que j ai crée moi-même, , va vous emporter, dans un monde , imaginaire, peuplé, de personnages réel et ireel, qui peuvent s'unirent, contre des ennemi, parfois , dangereux, et mystérieux. Tous ses personnages évolueront, ensemble, au coté d'un d'héros de mon histoire, qui lui, apprendra, à connaître , leurs défauts, leur limites, leurs peur, et entrera dans la légende.